Sérologie rougeole

L'épidémie actuelle de rougeole pose, entre autre, la question de l'identification des patients "à risque", ou "non à risque".
Cela est particulièrement important en milieu de soins, pour les soignants.
C'est par ailleurs vital pour nos consultants immunodéprimés qui devront avoir des immunoglobulines en cas de contage et de "non protection".

Nous utilisions jusque là la sérologie rougeole, estimant que la présence d'IgG signait une infection ou une vaccination antérieure et indiquait donc une protection.

L'instruction ministérielle de sept 2018  indique que ce n'est pas le cas et qu'il ne faut s'intéresser qu'aux anticorps neutralisants qui sont difficilement dosables, en routine, à grande échelle.

Or, il semble que de nombreux infectiologues utilisent encore en routine la sérologie rougeole pour déterminer si des patients exposés sont, ou non, protégés.

Pour avoir une vision plus étendue de votre attitude, nous avons conçu un mini questionnaire.


Le questionnaire mis en ligne le 19 juin est clos ce 30 juin avec 105 réponses.

Les résultats seront présentés sur cette page


Cordialement

Le bureau de la SPILF




Les questions étaient: